LE STOP-TEST OU « LE STOP PIPI »

Dans les cas d’urgences mictionnelles, la contraction volontaire sphinctérienne urétrale, simultanée à la miction, est formellement contrindiquée.

Cette action dénommée « stop-test » est un test neurologique, dont le but est de contrôler la validité de la boucle inhibitrice D1 (somato-parasympathique). L’arrêt mictionnel est dû à l’inhibition du détrusor, et non pas à l’action mécanique du sphincter strié de l’urètre.
La pratique régulière du stop-test, en mode rééducation, engendre dans un délai de quelques mois, des dysfonctions vésicales : soit une hypoactivation parasympathique, se traduisant par des difficultés mictionnelles, avec des débits maximums diminués ; soit au contraire, une hyperactivation parasympathique, avec apparition ou exacerbation de phénomènes d’urgences.
Le stop-test, générateur d’hyperactivité détrusorienne, ou au contraire, d’hypocontractilité vésicale à la miction, est une mauvaise technique de rééducation. (M. Caufriez)

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